Loin, les constructeurs sont très loin de Toyota et sa première Prius sortie en 1997. On pensait voir les premières hybrides françaises peu après la présentation de la C4 Hybrid en 2006. Mais les projets ont traîné…

Enfin, PSA annonce officiellement que le Peugeot 3008 ainsi que la future Citroën DS5, sûrement basée sur le concept C-SportLounge (photo), seront disponibles en hybride dans deux ans. 2011, soit 14 ans de retard sur la Prius…Mais mieux vaut tard que jamais, surtout que le moteur thermique sera un diesel, un emploi jusqu’à maintenant inconnu en série.

Baptisé HYbrid4, la technologie montée à l’arrière des modèles diesels HDi sera peu coûteuse pour le client qui n’aura, selon un porte-parole du groupe, qu’à rallonger la note de 2.200€ environ par rapport au 3008 HDi “normal”. Les économies estimées sont de 35% sur les émissions de CO2.

Au vu de ce concept car et des informations quant à la motorisation il est dommage que le choix se porte sur un diesel pour une hybride. Je comprendrais si le moteur servait à faire tourner un alternateur pour recharger la batterie mais le mettre en parallèle d'un moteur électrique c'est un paradoxe. En effet l'hybride à plutôt une vocation "écologique" et ce n'est qu'une solution de transition vers des modèles plus propres et vu la quantité de Nox des diesels, je ne suis pas certain de la pertinence du choix en ce qui concerne l'hybride.
Sinon côté design c'est plutôt bien inspiré.
Si d'autres informations, je suis très intéressé.
Vivement une ZX propre tout électrique ou à pile à combustible (et soyons fou, pourquoi avec un réacteur à fusion thermo nucléaire. Mais j'arrête car je sens le thermomètre monter en flèche!!!)

des nouvelles photos

La marque a dévoilé ce matin le Citroën DS5, un crossover aux proportions étonnantes, au style percutant, à l'intérieur envoûtant et au système hybride peu polluant.
de solides atouts esthétiques et mécaniques, le Citroën DS5 débarquera fin 2011 en France.

Présentation originale !
Comme la ligne DS ne fait rien comme les autres, la présentation du Citroën DS5 s'est aussi distinguée. Optant déjà pour une révélation dans le cadre du Salon de Shanghai 2011, il prend quelques heures d'avance pour souffler les autres nouveautés. De plus, le direct fut diffusé sur Facebook, où le lancement de la gamme DS fut officiel pour la Chine.
Sacré ligne !
Ce qui surprend, c'est le mélange des genres assez atypique, déjà orchestré sur le Mercedes Classe R dans un segment plus haut. Le Citroën DS5 récupère les gènes des DS3 et DS4, en ajoutant une silhouette de crossover, au porte-à-faux arrière réduit, une ligne chromée partant des optiques avant, de multiples aérations, des jantes aérodynamiques et des échappements larges suggérant la puissance

Luxe et technologie à bord
Tout comme la coquille, l'intérieur du Citroën DS5 est spectaculaire. Totalement spécifique à l'exception des sièges façon bracelet de la DS4, l'habitacle est somptueusement luxueux, entre cuir quasi intégral, métal brossé et dessin original de la console centrale, au bord du concept-car !

Hybride au départ
Parlons du moteur, qui n'est pas une nouveauté en lui-même puisque issu du 3008. Modèle Citroën DS5 Hybrid4, il utilise un moteur diesel HDi à l'avant et un propulseur électrique à l'arrière, développant au total 200 chevaux, pour des rejets de CO2 moyens de 99 g/km.

Le lancement officiel en France n'est pas précisé, mais interviendra fin 2011, pour des livraisons en 2012. Prix estimé de base : 26.000 euros

source automoto

j'adore l'interieur

Essai de la Citroën DS5 2.0 HDi 160

Après les DS3 et DS4 et avant une certaine DS6 limousine, la lignée DS grimpe en catégorie routière, mais avec une originalité incroyable côté look. S'installer au volant est tout aussi dépaysant !
Lorsque l’on se retrouve nez à nez avec la DS5, la surprise est déjà visuelle. Elle ne concerne pas les jantes bicolores ou les sabres courant de part et d’autre du capot, mais c’est plutôt le gabarit qui étonne : toit bas, voies larges. Et une allure ramassée, bien plus proche d’un break haut de gamme (voir un break de chasse !) que d’un C4 Picasso recarrossé. Le tout dans un gabarit compact de 4,53 m, soit 30 cm de moins qu’un C5 Tourer.

Bienvenue à bord
Le sentiment d’étonnement se prolonge dans l’habitacle. D’abord, il y a cette large console centrale, dont les boutons semblent empruntés au milieu aéronautique. Puis ce fameux toit cockpit, qui sépare deux verrières d’une pluie d’interrupteurs. Enfin, ce ballet d’aiguilles de compteurs à fond rouges, lors de la mise en route.

Dès lors, le pilote n’attend plus qu’une chose : l’énoncé de la procédure de départ, avant de décoller au volant de ce Boeing en réduction…

En attendant que la piste se libère, il pourra admirer la qualité de fabrication, souvent soignée (plastiques cossus, assemblages sérieux, "toucher" des commandes travaillé), parfois perfectible. Par exemple, les molettes de chauffage tolèrent un léger jeu, et les placages façon aluminium sur les contre-portes grincent lorsqu’un genou les rencontre en virages.

Cela dit, l’ensemble dégage une belle impression de qualité, l’agencement des commandes ne donne plus de sueurs froides au non-initié (fini, le volant couvert de boutons de la C5), et l’excellente position de conduite donne l’envie d’en savoir plus. En route !

Tapis volant ?
Avec la motorisation hybride-diesel, le dépaysement se serait prolongé lors la conduite (quatre modes de conduite disponibles, évolution en mode 100 % électrique possible pendant 3 km environ). Mais aujourd’hui, nous resterons les pieds sur Terre avec cette version 2.0 HDi de 163 ch (qui représentera le gros des ventes) accompagnée d’une transmission automatique à six rapports.

La métaphore aéronautique s’évapore dès les premiers kilomètres. Faute de suspension hydropneumatique, habituellement proposée sur les haut de gamme Citroën, la DS5 ne "survole" pas la route. En milieu urbain, c’est plutôt dommage : les plaques d’égouts restent sèchement répercutées dans les vertèbres. Aussi dans les oreilles, car les amortisseurs sont très sonores.

En dehors des villes, tout s’arrange. Parfaitement amortie, ignorant le roulis et profitant d’un équilibre imperturbable, la DS5 se montre plus dynamique qu’une C5 : direction plus consistante, train avant plus franc. A rythme soutenu, nous regrettons même de ne pas disposer de palettes de changement de rapport au volant, d’une transmission plus réactive ou d’un moteur plus vigoureux en relances.

Une fois calmés, l’accord moteur-boîte nous conviendra parfaitement : le HDi affiche une agréable souplesse dès 1 500 tr/min, élève peu la voix. Quant à la boîte, elle n’est pas la plus moderne du segment mais se montre douce, rétrograde en montée, conserve du frein moteur en descente. Et réclame un surcoût raisonnable (1 400 €), auquel il faut hélas ajouter 750 € de malus.
Première classe

Plaisante à conduire et silencieuse (sauf sur les saignées !), la DS5 demeure une agréable machine à voyager. Et pas seulement au volant. Les places arrière réservent un excellent accueil grâce à un espace aux jambes suffisant, une belle largeur aux coudes et une banquette bien dessinée, légèrement inclinée vers l’arrière.

Le cinquième passager sera moins bien loti : garde au toit limitée, dossier ferme. La DS5 avoue ici qu’elle ne joue pas dans la cour d’un vrai monospace, comme le prouvent sa modularité basique (banquette simplement rabattable 60/40), son seuil de coffre haut perché et ses rangements rares, notamment à l’avant, où un profond bac entre les sièges vole au secours d’une boîte à gant pas plus vaste qu’un cendrier...


Bilan
Plus que ses petites soeurs, la DS5 bouscule les habitudes, se montre presque inclassable et joue sur deux tableaux : les breaks et les SUV haut de gamme.

Charmeuse, à peine écornée par de menus défauts, elle affiche des tarifs qui n’ont rien d’extravagants vu sa prestation : 35 000 € en finition So Chic déjà bien équipée, avec un diesel puissant et une boite automatique.

L’automobiliste porté sur l’innovation et qui dispose de ce budget ira forcément voir cette nouvelle curiosité. C’est une première victoire.

On aime
La présentation intérieure et extérieure
L’agrément de conduite
L’habitacle agréable à vivre
L’insonorisation générale…

On regrette
…sauf celle des suspensions
Le confort sec à basse vitesse
Peu d’équipement technologique
source l'argus

Moué ok elle est sympa mais bon j'ai vu 100X mieux niveau esthétique !

j'aime bien l'interieur aussi la ligne et pas mal aussi

pour ma part , je l'a préfère à la ds4 qui plus torturée. la ds5 est plus fluide .

la news DS5

DS étant devenue une marque à part entière dans le monde entier, la DS5 va se refaire une beauté pour abandonner ses chevrons. Du coup, elle recevra un bouclier totalement redessiné et surtout une calandre qui intègrera désormais le logo DS.

L’intérieur des optiques avant sera aussi revu avec l’apparition de la technologie 100 % à diodes comme sur une DS3. A l’arrière, les changements, moins visibles, toucheront simplement les feux, qui s’inspireront de ceux du SUV DS 6WR réservé au marché chinois.

Selon nos informations, l’habitacle n’évoluera pas pour retrouver une ambiance originale mais à l’ergonomie douteuse. Cette “nouvelle” DS5 devrait faire sa première apparition en mars prochain à l’occasion du Salon de Genève.

elle et trop belle

L'habitacle est vraiment magnifique, les finitions sont top

superbe

j'adore cette voiture